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❖ Je suis éleveur laitier et j’engraisse mes veaux pour les valoriser dans la filière bio (veaux, bœufs
ou génisses)
❖ Je suis éleveur laitier et je fais naitre (ou j’aimerai faire naître) des veaux laitiers qui sont
engraissés chez un éleveur allaitant et valorisés dans la filière bio (veaux, bœufs ou génisses)
❖ Je suis éleveur allaitant bio et j’engraisse (ou je souhaite engraisser) des veaux issus d’un
troupeau laitier pour les valoriser dans la filière bio (veaux, bœufs ou génisses)
❖ Je ne fais pas naître de bovin, mais je fais (ou je souhaite faire) de l’engraissement de bovins
laitiers sur ma ferme pour les valoriser dans la filière bio.
Pas de critères de race. Tout type de conduite des jeunes : allaitement artificiel, sous les
mères, sous nourrice…
Le projet « VALOMALEBIO », qu’est-ce que c’est ?
Alors que près de 11 000 fermes bovines sont conduites en agriculture biologique et en conversion en
France en 2021 (soit plus de 522 000 têtes, laitières et allaitantes), une part importante des animaux
quittent les filières bio, en particulier les mâles (principalement veaux issus du cheptel laitier et
broutards). Ces fuites vers le conventionnel représentaient 142 000 animaux en 2018 (82% des mâles
laitiers et 59% des mâles allaitants)
La CAB Pays de la Loire, les GAB et CIVAM Bio et ses partenaires lancent un projet de 3 années pour :
- Identifier des leviers pour améliorer la valorisation en bio des animaux issus des troupeaux
laitiers,
- Acquérir des repères technico-économiques clés,
- Caractériser et accompagner l’optimisation des pratiques d’élevage.
Depuis 2 ans, le GIEE “valorisation des veaux laitiers bio” en Mayenne réalise des mesures pour répondre
à cette problématique et les premiers résultats sont concluants. Ce projet devra permettre d’élargir ces
travaux (objectif de suivi de 200 animaux sur 3 ans) et de diffuser les résultats. Il fédère à la fois des
opérateurs économiques de la filière bio, des organismes de développement agricole, des instituts, des
vétérinaires et aussi des éleveurs pour mener à bien ces expérimentations
APPEL A CANDIDATURE : ELEVAGES BOVINS LAIT ET ALLAITANT BIO
PROJET D’EXPERIMENTATION REGIONAL « VALOMALEBIO »
(Valorisation des veaux laitiers)
Est-ce que ma ferme peut participer à cette étude ?(Valorisation des veaux laitiers)
❖ Je suis éleveur laitier et j’engraisse mes veaux pour les valoriser dans la filière bio (veaux, bœufs
ou génisses)
❖ Je suis éleveur laitier et je fais naitre (ou j’aimerai faire naître) des veaux laitiers qui sont
engraissés chez un éleveur allaitant et valorisés dans la filière bio (veaux, bœufs ou génisses)
❖ Je suis éleveur allaitant bio et j’engraisse (ou je souhaite engraisser) des veaux issus d’un
troupeau laitier pour les valoriser dans la filière bio (veaux, bœufs ou génisses)
❖ Je ne fais pas naître de bovin, mais je fais (ou je souhaite faire) de l’engraissement de bovins
laitiers sur ma ferme pour les valoriser dans la filière bio.
Pas de critères de race. Tout type de conduite des jeunes : allaitement artificiel, sous les
mères, sous nourrice…
Le projet « VALOMALEBIO », qu’est-ce que c’est ?
Alors que près de 11 000 fermes bovines sont conduites en agriculture biologique et en conversion en
France en 2021 (soit plus de 522 000 têtes, laitières et allaitantes), une part importante des animaux
quittent les filières bio, en particulier les mâles (principalement veaux issus du cheptel laitier et
broutards). Ces fuites vers le conventionnel représentaient 142 000 animaux en 2018 (82% des mâles
laitiers et 59% des mâles allaitants)
La CAB Pays de la Loire, les GAB et CIVAM Bio et ses partenaires lancent un projet de 3 années pour :
- Identifier des leviers pour améliorer la valorisation en bio des animaux issus des troupeaux
laitiers,
- Acquérir des repères technico-économiques clés,
- Caractériser et accompagner l’optimisation des pratiques d’élevage.
Depuis 2 ans, le GIEE “valorisation des veaux laitiers bio” en Mayenne réalise des mesures pour répondre
à cette problématique et les premiers résultats sont concluants. Ce projet devra permettre d’élargir ces
travaux (objectif de suivi de 200 animaux sur 3 ans) et de diffuser les résultats. Il fédère à la fois des
opérateurs économiques de la filière bio, des organismes de développement agricole, des instituts, des
vétérinaires et aussi des éleveurs pour mener à bien ces expérimentations
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